Hélène et moi avons acheté la battisse en 1997 à mon ami Marcel. Il ne pouvait plus l'entretenir. Et, il y avait de coin faire. D'abord, il fallait refaire les 330 m2 de toiture. Nous avons opté pour "l'onduline". Il s'agit tôles ondulées sans amiante et ayant la même longueur d'onde que la tuile romane traditionnelle. Cette solution est bien plus étanche que la tuile romane. C'est moins lourd aussi. Nous avons fait ce chantier en trois campagnes avec l'aide précieuse de mon ami de grimpe Pierre Vilanis et un multitudes d'ami que sont venus nous aider. Des chantiers dures mais festifs !
Trois ans plus tard, l'ancienne maison écroulée à l'intérieur de la grande terrasse menaçait crouler sur la ruelle. Un maçon dont nous avions fait la connaissance est venu à notre rescousse. Nous avons abattu les parties inutiles et trop pourrie et consolidé ou reconstruit le reste. L’ami Antonio, c'est le nom du maçon à poursuivi un bout de chemin avec nous. C'est lui qui a réalisé les arches sous la petite terrasse. Puis, plus tard, il a fait la troisième voûte sous la grande terrasse que j'avais vidée (environ 80 tonnes) avec un bob4 et un tracteur prêté et Vincent Grollot. On a ensuite, toujours avec Antonio construit l'escalier extérieur qui depuis la cours intérieur donne accès à la grande terrasse. La maison commençait à être sécurisée et en même temps, la cours intérieur avait bien grandi.
Restait alors une masse de finitions! Ce fût alors un période avec notre ami Jean-Jacques Locher. xxx planché solaire XXX entre autre le carrelage des terrasses, la douche à l'italienne de la salle d'eau ouest, la réfection des voûtes sous la salle à mangé et dans la chambre d'été (6 tonnes de déc routage, idem en ré-enduisage). Suite à cela, les fenêtres apparurent dans un triste état. En deux étapes, elle furent remplacée par Bruno Toulouse, avec des doubles vitrages et, respect des lieux, cadres en chêne. Bruno à aussi réalisé le plan de travail en chêne et marbre de Ruoms pour la cuisine. Pendant 7-8 ans une grosse verrue restait plantée dans la cours. En grillage de chantier barrait l'accès sous la grande terrasse car la voûte y étant peu sécure. Mais comment la consolider. La solution est venue subitement, en deux ans (covid aidant) avec la société TDM spécialiste en projection et façades, qui nous refit cette voûte plus belle que jamais. D'où cette espace c'est transformé en salon de lecture d'été. Alors, entre en scène Geoffrey l'artiste du plâtre et du carrelage. Il terminât le travail par une chape et un carrelage réalisé avec les tommettes récupérées du séjour lors de l'installation des planchers solaires. L'aire Geoffrey est en cours. Taille, déc routage, restauration des plâtre du grand escalier et la salle à mangé. Une longue polémique à propos de la tapisserie de cette grande salle à duré presque 20 ans. A l'entrée, mes femmes, Hélène et Julie, me soutenaient qu'elle était atroce. Moi je soutenait que ce chantier avait la priorité 1234. Puis fût le temps ou cette tapisserie devint vintage. J'avais la paix, mais plus de resserve pour des réfactions notamment suite à des dégât d'eau provoqué par une violente tornade d'août. Nous en étions à l'heure de la priorité 1234. Le petit lutin Cédric se mit au dé-tapissage, Geoffrey à la restauration des surfaces, puis re-Cédric à la peinture. Entre en scène Anne Gérard, vielle copine d'Hélène. Anne était monitrice de ski en valais. Surprenant pour une belge. Mais aussi artiste peintre travaillant directement sur les murs. Il s'en suivi l’apparition de bête préhistorique sur les murs de la "grotte"(sale d'eau) sous les escaliers. Puis une grande fresque du pond d'Arc dans le grand escalier. La suite reste à écrire ... notamment pour la suite des projets solaires, car s'il y a planché solaire, il faut qu'il y ai du solaire thermique et du solaire photovoltaïque.
